Le grand défi des repreneurs : le transfert de savoir
Étienne détient un MBA, il a 35 ans et est prétendant à la succession de son patron. Ce patron, Michel a appris son métier de dirigeant sur le tas au cours des 35 dernières années dans l’entreprise. Peu scolarisé sur le plan académique, il est pourtant très habile à diriger l’entreprise qui a connu une croissance importante au cours des dernières années. Étienne est fier de sa formation universitaire, maitrise des systèmes de gestion et des modèles établis, il croit être en mesure de prendre la relève. Il est toutefois étonné d’entendre son patron apporter des points de vues divergents à certaines perceptions qu’il expose et encore plus étonné de constater que son patron a généralement raison.
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Je suis tout a fait d’accord. Je vis actuellement cette situation. Apres 45 d’expérience dans le réseau public, je pars à la retraite. La personne qui a obtenu collige pres de 15 dans le reseau privé. Pour assurer un transferrt heureux, nous avons prévu une période de transfert de 4 mois. Je peux durant cette période lui transmettre des données et de l’information pertinente sur notre organisation. Il lui restera à vivre l’expérience de notre culture. Je serai disponible pour poursuivre son coaching si elle le souhaite.
Une habileté et aptitude incontournable est la capacité pour un cadre d’actualiser l’introspection et la meta cognition. Porter un regard analytique sur ses actions, leurs impacts et les champs d’amélioration. Sans ces habiletés et aptitudes le coaching ne portera ses fruits et la sagesse ne se construira pas.
Vous avez bien raison, le successeur doit apprendre comment absorber le « savoir » de son prédécesseur et ce dernier doit apprendre à le transmettre.